© Caza pour La Planète Bleue

Les Émissions

Qu’est-ce qu’on écoutera dans 10 ans ? Et dans 100 ans ?

Qu’est-ce qu’on écoutera dans 10 ans ? Et dans 100 ans ?

Pourquoi ne se pose-t-on jamais la question ?

Il est incroyable que tout le monde se foute de ce que les prochaines décennies réservent à nos oreilles. Et à nos âmes.

Alors que les bacs des disquaires débordent de compilations, rééditions, best of et autres remix, pourquoi n’existe-t-il pas de science-fiction musicale ?

En littérature, la SF est devenue un genre à part entière, riche et respecté, l’architecture a ses visionnaires, la médecine ses chercheurs, la restauration sa nouvelle cuisine et l’image est virtuelle.

Pourquoi l’audio, pourtant gros consommateur de nouvelles technologies, n’a-t-il pas ses futuristes ? Faillite de la créativité ou terrorisme marketing ?

En fait, partout sur la planète, des musiciens cherchent le swing de demain. D’Australie au Moyen Orient, du Canada aux pays de l’Est, des artistes dessinent de nouvelles perspectives, inventent le swing du troisième millénaire.
Ils sont partout. En Laponie comme à Paris, à Tokyo comme à Rio. Oui, oui, même dans les pays les moins novateurs, à force de recherche, on débusque des artistes futuristes, des créateurs qui se projettent dans l'avenir, à la recherche de nouveaux sons, de nouvelles attitudes. Jusqu'à présent, ces musiciens étaient résolument tenus à l'écart des médias.
Ils trouvent aujourd'hui leur espace sur La Planète Bleue.

Décontractée de l'actualité, loin des turpitudes du marketing, La Planète Bleue nous convie dans une faille du continuum spatio-temporel, là où les époques se télescopent, là où se mixent les géographies. Des vibrations ancestrales de la peau des tam-tams jusqu'aux frémissements informatiques de la science-fiction, c'est une balade aux coins du globe, un long travelling sonore, un tour du jour en 80 mondes, un bond dans l'espace et un voyage dans le temps.
Aventures musicales et planète sans frontières. Demain, le son.
Tam-tam et computer, du sable et du silicium.

La Planète Bleue est une série d'émissions radio d'un type totalement nouveau : les "films audio" (90 minutes, mensuel, multi-diffusion FM, DAB+, streaming, podcast). Un "film audio" est une émission musicale peu intervenante (speaks rares et limités à quelques minutes) mais avec un fort contenu sonore, suggestif, riche en imaginaire.
La couleur générale est mondiale et futuriste.

Il s'agit d'un travail sur les paysages sonores. Celui d’un architecte digital, un urbaniste numérique. Une peinture stéréophonique, comme une jungle vidéo qui mettrait tellement l'accent sur sa bande-son qu'elle en viendrait à faire l'économie de l'écran. 

Une bande de données ludique, un labyrinthe acoustique, un conglomérat d'espace-temps qui va doucement exploser les transistors.
Car, que l'on ne s'y trompe pas, La Planète Bleue n’est pas un "programme difficile" :
le "film audio" fait swinguer, parfois le corps, souvent l'âme, l'imaginaire toujours.
On y entend les chutes du Niagara derrière un tapis funk contemporain.
On y entend palpiter le cœur de la grande forêt au beau milieu d'un entrelacs de computers.
On y entend le souffle du didgeridoo entre deux hoquets cybernétiques.
On y entend les bruissements de la ville, le feulement du désert.

Le concept permet d'exploiter une mine de sons, d'habitude laissés-pour-compte :
bruitages, climats, ambiances, matières sonores — au sens noble du terme.
Ces sons ne sont pas collés comme des post-it entre deux disques, mais installés par de longs mixages qui les font évoluer — comme un travelling sonore.
Pour information : le standard du mixage radio, aujourd'hui, c'est le cut. Les mixages les plus longs ne dépassent pas 0,5 seconde.
Sur La Planète Bleue, les mixages durent souvent plusieurs minutes.

La réalisation, exceptionnellement sophistiquée pour une émission de radio, est plus proche du cinéma que de la FM.
L'émission est produite en tout numérique, sur station Pro Tools.
Les morceaux sont parfois raccourcis, souvent retaillés, sculptés.
Des inserts ethniques alimentent le croisement "primitif - futuriste".
Un habillage spécifique, très élaboré, est développé pour ce programme. (Le générique de fin est un son de pluie tropicale, enregistré en stéréo numérique à Hawaii, après le passage d'un grain).

Réfractaire au marketing et aux impératifs des maisons de disques, La Planète Bleue affiche une vision éditoriale résolument innovante.
Chaque émission comporte six à sept interventions parlées (deux à trois minutes chacune). Les thèmes abordés sont très larges, extrêmement ouverts : ils vont des nouveaux objets aux nouvelles mentalités. Ou, disons plutôt, des prochains objets aux prochaines mentalités. Le concept fédérateur, c'est le futur. Il est donc question, notamment, d’écologie, de technologies spatiales, de recherche scientifique, de géopolitique...
Et ce, évidemment, aux coins du globe.

Le concept même de La Planète Bleue offre un mode d’emploi particulièrement souple à l’auditeur. Chacun trouve dans "le film audio" ce qu’il veut y trouver — ou ce que sa disponibilité lui permet de trouver :
la bande de copains prend un pot avec le programme en fond sonore, le musicologue débranche son téléphone avant le début du programme, l'étudiant enregistre l'émission, et la ménagère s’offre un courant d’air sans poussière. Un moment suspendu pour s'extraire du quotidien, une source d'inspiration et de réflexion...

On l’aura compris, il s’agit de ré-enchanter la radio.

Après l’ère cybernétique, voici l’heure cyber-ethnique.
Mondiale et futuriste, c’est La Planète Bleue.
Bienvenue sur la Terre !

Le Pressbook de l’émission

Yves Blanc a été l'un des premiers dans les années 90 à dénoncer cette planète qui brûlait.

Simon Matthey-Doret / Pauline Vrolixs / José Moreno, RTS La 1ère.

« La Planète Bleue » ne commente pas l’actualité, elle fournit des points d’écoute et de vue originaux, entre la rigueur et la témérité de son investigation. Grâce au montage et au mixage, la forme est ciselée, tracée au rasoir. Pas de direct, pas de bavardage, mais un concentré de références ultra précises en matière d’innovation artistique, du cinéma à la littérature en passant par la bande dessinée, avec toujours, en fil rouge, l’écologie.

Francesca Serra, NOTA (lire l'article complet)

La Planète Bleue, l’émission la plus podcastée du monde.

Zoé Varier, FRANCE INTER

With a broadcast syndication active since 1995, including Swiss radio Couleur 3 and French Radio Nova, La Planète Bleue is widely renowned as one of the most ambitious, exceptional and unconventional radio show of all time. In favors of the unexpected, the monthly show opens the doors to other worlds, other sounds and other ways of thinking by breaking geographical borders, eras and genres. La Planète Bleue invites the audience to experience different ways of observing and understanding our world without feeling settled with conventions.

ULTIMAE

Yves Blanc, c’est l’homme qui murmure à l’oreille des auditeurs. Une voix grave, chaude, intimiste. Confronté à la censure, à des menaces aussi, Yves Blanc répond : « Entre l'inadmissible et le convenu, le chemin est de plus en plus étroit. Il faut tâcher de l'emprunter avec liberté et insolence. Ne surtout pas se fondre dans le moule. »

Pierre-Yves Reichenecker, LA PRINCIPAUTÉ

C'est l’une des émissions les plus durables de la bande FM. Un concept novateur, singulier, original. Un voyage hors de l’espace-temps à la découverte de sons inconnus. « La Planète Bleue », c'est une parfaite maîtrise du language radiophonique, poussé à la perfection, et c'est sans doute ce qui explique qu'elle existe depuis 23 ans, une longévité rare dans le monde de la radio. Et un succès planétaire qui se décline désormais aussi sous la forme d'un livre.

RADIO VOSTOK

Remercié par Couleur 3 après 22 ans de collaboration, l’auteur de l’émission culte a signé le retour de La Planète Bleue sur quatre radios libres. L’émission devient mensuelle et passe de 60 à 90 minutes. Mais le fond reste le même. L’habillage méticuleux, mêlant sons et extraits de films, sert de fil rouge à un télescopage constant entre musiques primitives, électroniques et expérimentales.

Ugo Curty, 24 HEURES (lire l’article complet)

C'est l'événement de la rentrée radiophonique. Remercié par Couleur 3, le producteur Yves Blanc revient sur les stations indépendantes avec son émission la plus podcastée au monde.

Thierry Mertenat, LA TRIBUNE DE GENÈVE (lire l'article complet)

"La Planète bleue fait sa rentrée début septembre... et reste libre !" Postée samedi dernier sur les réseaux, l'annonce a fait son effet. L'émission aux vingt-deux ans d'existence avait été supprimée de la grille de rentrée de Couleur 3. Provoquant l'ire et l'incompréhension chez les auditeurs habitués à la voix d'Yves Blanc, producteur et animateur de cette émission unique dans le paysage radiophonique, mêlant défrichage musical, prospective scientifique et interrogations sur l'état du monde.

Roderic Mounir, LE COURRIER (lire l'article complet)

Une nouvelle aventure commence pour cet infatigable explorateur de sons et pour nous, auditeurs encore inquiets il y a quelques mois, lorsque nous apprenions le retrait des ondes de cette émission unique en son genre. C'était sans compter sur l'obstination et la persévérance d'Yves Blanc, journaliste infatigable, curieux, insoumis et stimulé par cette question qui nous anime tous : à quoi ressemblera notre futur ?

GRRIF

Couleur 3, radio publique suisse, ne juge plus aussi indispensable de faire partager à ses auditeurs des musiques venues d'ailleurs et une émission riche et variée, à nulle autre pareille.

BéDéGrammes

Couleur 3 vient de stopper la diffusion de cette émission de radio farouchement indépendante, reine des audiences. Le 30 juillet, le journaliste, écrivain, producteur et réalisateur Yves Blanc a diffusé sa 945e et ultime émission de La Planète Bleue sur Couleur 3. Après vingt-deux ans d’existence d’un ovni radiophonique qui a réuni des centaines de milliers d’auditeurs autour de la découverte musicale et scientifique sans tabou, du rock touareg au vertige des galaxies, ce prospecteur infatigable a pris congé [...] de sa voix rauque immédiatement reconnaissable, alors qu’une pétition de protestation a réuni 1500 signatures en quelques jours et que le buzz sur la Toile est considérable.

Marc David, L’ILLUSTRÉ (lire l'article complet)

L’émission consacrée aux musiques du monde et au futur, La Planète Bleue, ne sera plus diffusée sur Couleur 3. Yves Blanc sort un livre pour dévoiler les coulisses d’un programme de référence. [...] Pour les passionnés de science-fiction, un recueil précieux de références : musiques expérimentales, films et bande-dessinées SF, livres de prospective... Après 22 ans de diffusion, le producteur n’a rien perdu de sa vision ambitieuse pour la radio. [...] Devenue une référence pour les amateurs de world music, La Planète Bleue a inventé son propre genre : le "swing de demain", les télescopages "primitif/futuriste" et la rencontre des musiques ethnique et électro. Le programme a d’ailleurs mis au monde une collection de neuf albums.

Simon Chodorge, LES INROCKS (lire l’article complet)

"La Planète bleue" est un ovni, défricheur musical sur tous les continents, philosophe et écolo. Créée en 1995, l'émission est diffusée par Couleur 3 et podcastée dans une cinquantaine de pays. Elle est indissociable de son concepteur et animateur Yves Blanc, ancien de Radio Nova, France Inter et Arte, collaborateur de la revue Sciences et Avenir. Le succès de son émission, il l'a bâti sur "le télescopage entre tradition et anticipation, tribal et digital".

Roderic Mounir, LE COURRIER (lire l’article complet)

Ce Français, qui a insufflé sa curiosité culturelle à une bonne douzaine de journaux et magazines en Suisse et en France ainsi qu’à nombre d’émissions de radio et télévision, a commencé à cultiver sa planète en 1995. Comme à ses débuts, il bichonne encore et toujours sa terre sonore : entre trois et quatre jours de travail pour une heure d’antenne.

Tamara Bongard, LA LIBERTÉ (lire l’article complet)

On connaît l’homme et la rigueur dont il fait preuve : depuis plus de vingt ans, le journaliste et producteur excelle dans l’art de ciseler des ambiances particulières. Mêlant musiques expérimentales, philosophie, journalisme et quête des utopies, Yves Blanc créé chaque semaine un nouvel espace-temps orienté vers le futur.

Julien Sansonnens, GAUCHEBDO (lire l'article complet)

Nul n’ignore "La Planète Bleue", émission de radio créée en 1995, produite par la RTS et écoutée dans une cinquantaine de pays via iTunes. Son concepteur et animateur Yves Blanc, un ancien de Radio Nova et Arte, y parcourt en toute liberté et avec une poésie très personnelle la mappemonde des sons. Avec des détours par l’anticipation, l’écologie et les sciences, ses autres obsessions.

Roderic Mounir, LE COURRIER (lire l’article complet)

Seul, il parle du futur au monde entier. Dans le Vercors, Yves Blanc élabore un étonnant mélange radiophonique diffusé sur les ondes suisses. Mondiale et futuriste, sa Planète Bleue compte parmi les programmes les plus podcastés au monde.

Antoine Lannuzel, WE DEMAIN (lire l’article complet)

La Planète Bleue, une émission surprenante où se rencontrent musiques avant-gardistes et propos engagés. Des sons inattendus, peu de paroles, mais des infos fortes, qui parfois bousculent nos certitudes.

Pierre-Yves Reichenecker, LA PRINCIPAUTÉ (lire l’article complet)

Des radios libres des années 70, d’une Radio Nova époque Jean-François Bizot, de l’Association pour la libération des ondes, que reste-t-il ? Il subsiste au moins Couleur3 et La Planète Bleue, respectivement l’une des meilleures stations du paysage radio francophone, et l’une des meilleures émissions de la voie lactée.

Julien Sansonnens, GAUCHEBDO (lire l’article complet)

Yves Blanc, un regard qui ose être différent, et un bosseur acharné. Son émission est ultra-réalisée, savamment mixée, tellement inédite, tellement décoiffante que tout le monde en parle. Elle est reprise un temps par Radio Nova, Radio Canada et Radio Monaco.

Elisabeth Stoudmann, "Couleur 3 - 30 ans" (Glénat)

C'est l'ovni de Couleur 3 et pourtant le plus podcasté de la radio suisse. Depuis 17 ans, La Planète Bleue passe à l'antenne à peu près tout ce que les autres ne proposent pas. Et se distingue par la voix d'Yves Blanc.

Laurent Flückiger, LE MATIN

Yves Blanc est le pionnier d'un genre nouveau : la science-fiction musicale.

Laurent Hugenin-Elie, TSR

Le son imagé, écolo, culotté. Voilà le credo d'Yves Blanc. Depuis quinze ans, il anime La Planète Bleue, une émission surprenante où se rencontrent musiques avant-gardistes et propos engagés.
Il faut l'avoir entendue une fois dans sa vie pour s'imprégner de cet imaginaire musical si particulier, à la fois primitif et futuriste, qui ne tombe jamais dans le new age. Yves Blanc est comme un cinéaste qui couperait volontairement les images de son film pour ne laisser que la bande-son.

Anne-Marie Gustave, TÉLÉRAMA

Ovni durable de la bande FM, "La Planète Bleue" se fait l'écho des mondes sonores les plus inouïs.
Ici et maintenant, cette émission décalée anticipe demain avec des préoccupations écologiques, technologiques, politiques ou éthiques mais toujours atypiques.

Olivier Horner, LE TEMPS

"La Planète Bleue" est comme un tirage négatif de la terriblement homogène bande FM.
Elle fait tout ce qui est banni ou inimaginable ailleurs.
Qui d’autre se permet de superposer deux musiques pour en fabriquer une troisième ?
Les FM ont viré largement vers le fanzine, Yves Blanc tire la radio vers le cinéma.

Christian Leblé, LIBÉRATION (lire l’article complet)

La planète des musiques novatrices, l'émission la plus populaire de Couleur 3.

Jean-Blaise Besençon, L’ILLUSTRÉ

Perché en haut d'un satellite, Yves Blanc se prend pour un martien et nous retransmet les échos de "La Planète Bleue". Son sonar capte tout.

Rémy Kolpa-Kopoul, RADIO NOVA

Innovation, futurisme, diversité sont les qualités qui guident cet ovni des ondes.

Fabrice Gottraux, LA TRIBUNE DE GENÈVE

Une science-fiction musicale, hors des sentiers battus de la FM formatée.
Des disques rares, des perles que vous n'entendrez jamais ailleurs.
Une bouffée d'oxygène sonore, doublée d'une vision du monde ouverte, curieuse et écolo.

Eric Charles, L’EXPRESS

"La Planète Bleue" prête l'oreille au swing de demain
composé par des artistes trop souvent tenus à l'écart des médias.

Jean-Jacques Larrochelle, LE MONDE

Surgi du futur, Yves Blanc est un personnage atypique. De France Inter à Megamix sur Arte, il a tissé un réseau de musiciens novateurs pour une émission unique en son genre.

Laurent Luyat, FRANCE 3

Yves Blanc invente la radio de demain.

Judith Bregman, L’ORDINATEUR INDIVIDUEL

Grâce aux textes bien documentés et souvent amusants de Yves Blanc, "La Planète Bleue" échappe aux clichés new age tout en conservant sa force d’enchantement.

Pierre-Jean Crittin, VIBRATIONS

Des vibrations ancestrales de la peau des tam-tams jusqu'aux frémissements informatiques de la science-fiction, Yves Blanc mixe le chant des baleines, le son de la pluie, le cri des bébés et les conversations des cosmonautes.

Pascal Joseph, TECHNIKART

Souples, harmonieux et sans paroles superflues, les films radiophoniques du Docteur Blanc se savourent avec plaisir. Un labyrinthe cybernétique qui nous mène droit à la vie.

Anne-Marie Gustave, TÉLÉRAMA

Des ondes de magiciens ! Couleur 3 s’offre une émission de science-fiction musicale, un programme issu de tous horizons et continents, qui séduit par ses enchaînements ambitieux. Un travail colossal, totalement disproportionné.

Vincent Brocard, LE MATIN

Ancien collaborateur de "Megamix" sur Arte, Yves Blanc arpente depuis dix ans les territoires musicaux les plus futuristes. Sa vocation : tête chercheuse.

Michel Masserey, LE NOUVEAU QUOTIDIEN

"La Planète Bleue", du sable et du silicium dans les sillons trop homogènes de la bande FM.

Gilles Machu, SUISSE 4

Le succès de l'émission prouve bien que le ton très particulier de "La Planète Bleue" attire l’oreille de l'auditeur habitué au ronronnement prévisible des autres radios.

Alain Croubalian, LE JOURNAL DE GENÈVE

L'émission la plus magique de Couleur 3.
Une heure hors du temps, qui vous emmènera aux portes du futur.

Magaly Mavilia, TV8

Mondiale et futuriste, séduisante, mystérieuse, bizarre, 100 % originale. Mais qu'est-ce qui fait que les gens cessent toute activité pour écouter La Planète Bleue ?

George Popescu, TV MANIA (Roumanie) (lire l’article complet)